Une des clauses importantes du contrat VDI concerne la rémunération.
En effet, le contrat doit expliquer clairement au VDI combien il touchera dans le cadre de l’activité. En marge sur ses achats-reventes ou en pourcentage de ses commissions selon son contrat.
Cette information précise est essentielle pour permettre au VDI d’envisager de mettre en concurrence plusieurs sociétés. Un bon contrat doit de ce fait préciser combien le vendeur gagnera dans le cas d’éventuelle cooptation de nouveaux VDI.
Le VDI acheteur-revendeur pourra bénéficier “de remises quantitatives sur les produits qu’il achète et sa rémunération, avant cotisations sociales éventuelles, correspondra à sa marge brute, soit la différence entre le prix de vente et le prix d’achat toutes taxes comprises.”
En revanche, comme précisé précédemment, la rémunération du VDI mandataire consiste en des commissions correspondant à un pourcentage du chiffre d’affaires réalisé par son intermédiaire.
Que ce soit le statut de VDI mandataire ou de VDI acheteur-revendeur, il est possible de recevoir également des commissions d’animation, mais aussi une exonération de la TVA.